Nous voilà, comme prévu, arrivés à Jausiers (Alpes de Haute Provence).
Ce matin en partant du refuge Napoléon, à deux kilomètres du sommet de l’Izoard, nous pensions pouvoir faire tamponner notre carnet de route à l’auberge située au sommet. Hélas le patron ne devant pas être un matinal, l’établissement était fermé. Jean-Louis a donc décroché sa remorque qu’il a laissée en surveillance à Antoine, avant de redescendre au refuge Napoléon, où nous avons passé la nuit, pour effectuer la formalité !
Descente du col sans souci, puis ascension du col de Vars (2105 m ) sans problèmes particuliers , hormis le fait que nous l’avons réalisée sous la pluie.
A 15 heures nous arrivions à Jausiers. Nous avons profité de notre avance pour passer chez un vélociste et faire une petite visite de nos montures. Ce commerçant fort sympa nous a indiqué un hôtel qui correspond parfaitement à ce que nous recherchions.
Demain, nous franchirons le col de La Bonette et si possible celui de Turini. Tout dépendra de la météo.
Bravo les amis, vous avez déjà fait du beau boulot.Courage.
RépondreSupprimerNadine et Pierre SIRE.
Il y en a un qui fait déjà plus de kilomètres que l'autre. Les jeunes ne respectent plus leurs aînés!!!
RépondreSupprimerBonne route vers le soleil.
Famille LAURENT d'Alsace
Un jour j'ai laissé mon téléphone sur le toit d'une voiture au sommet d'un col et j'ai du remonter car tous mes numéros étaient dans la mémoire de l'appareil. J'étais très en colère et j'ai remonté la pente comme jamais j'avais avancé en côte, Je pense que J.L a du faire une telle expérience. On peut faire une photo si on ne peut pointer! Bonne Bonette, et si vous basculé au col de Turini, n'allez pas jusqu'à Peira Cava, dormez au sommet ensuite vous serez dans le midi et au soleil. Bon courage. Amicalement.
RépondreSupprimerVous aviez bien fait de ne pas continuer votre montée de l'Izoard sous l'orage. A la Léchère, à cause de ce même orage, plusieurs personnes se sont noyées en faisant du canyoning.
RépondreSupprimerNous vous suivons avec intérêt et admiration.
Chantal et Jean-Pierre OUDET